Syna Awel présente son premier album, Awel (« la parole » en kabyle), arrangé par le virtuose Karim Ziad (Mustapha Mataoui, Chef Mami) et sous l’égide de David Donatien (Yael Naim, Angélique Kidjo, Bernard Lavilliers). Elle part à la recherche de ses racines, sur les traces de ses aïeux kabyles, dans ces dix titres de world amazigh jazz. Pour ce premier album, la chanteuse Syna Awel nous entraine dans son univers, fait de contes et de rencontres, puisés au fond de la Kabylie, son pays d’origine, et sur les traces de ses aïeux amazighs. Des histoires qu’elle met en mots et en musique.

Album Awel

Accompagnée par le Studio des Variétés (Oliver Bas) qui lui permet le soutien de David Donatien, elle confie la direction artistique du nouvel album à Karim Ziad. Ce dernier, batteur et percussionniste, a arrangé ce projet pour un groupe dans lequel on retrouve autour de Syna et de lui-même, David Aubaile au piano et aux flûtes et Pierre Bonnet à la basse. 

Chantées principalement en langue berbère mais aussi en français, ces dix chansons nous font voyager dans des ambiances orientales, les bendirs, krakeb et derboukas y sont pour beaucoup. Le piano instille aussi des harmonies jazz et pop. En prêtant l’oreille, on entendra même quelques influences occitanes. La musique n’aime pas les frontières. 

Dans ce bel écrin de sons, façonnés par des musiciens inspirés, la voix de Syna Awel peut développer son aisance et sa puissance dans toutes ses nuances. Elle débute sa carrière à Nice avec le compositeur brésilien Marcus Cecconi dans un projet soul, où se l’on sent déjà le brassage de cultures dans un mélange de tradition et modernité. Avec cet album, Syna Awel multiplie les scènes et les belles rencontres qui la mènent jusqu’à Miami et Kingston Studio Tuff GONG). 

Elle revient de ces voyages avec une détermination certaine à puiser dans racines. Syna Awel est recrutée par le groupe Ifriqiyya Electrique, en tant que chanteuse lead en bèrbère et en arabe, impulsé par François Cambuzat

En parallèle, la rencontre avec le chanteur Idir la motive à faire appel aux influences Afro-Jazz-world des musiciens de la diaspora niçoise (Béatrice Alunni, Jean Luc Danna, Jo Kaiat, Alain Ruard, Jean Christophe Bournine, Sofiane El Mabrouk…) pour mettre en forme la maquette de son nouvel album Awel.


PREMIERE PARTIE : NICE ORLEANS JAZZ OCHESTRA

la Nouvelle-Orléans s’invite à Nice

Né en 2020 sous l’impulsion d’Imago Records & Production et avec le soutien de la Ville de Nice, le Nice-Orleans Jazz Orchestra (NOJO) s’inspire directement des brass bands de La Nouvelle-Orléans pour faire vibrer les scènes azuréennes. Placée sous la direction artistique du célèbre trompettiste James Andrews – figure emblématique du jazz créole et frère de Trombone Shorty – cette fanfare incarne l’alliance réussie entre l’authenticité de la tradition américaine et l’ouverture à la scène française.

Le NOJO rassemble des musiciens professionnels et semi-professionnels issus de divers horizons : professeurs, élèves du conservatoire, avocats ou encore fonctionnaires – tous réunis par une passion commune pour le jazz et la scène.

Plus qu’un simple hommage au jazz de La Nouvelle-Orléans, le NOJO propose une réinterprétation vivante et généreuse du genre, portée par
l'énergie de ses cuivres et l'originalité de sa formation. En plus de son noyau instrumental, l’orchestre intègre une chorale qui vient sublimer les morceaux avec une dimension vocale rare dans les brass bands, apportant une "French Touch" à l’ensemble. Grâce à


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